Et oui, je cède à l'air du temps. Résultat : Ma première chanson raciste. Elle est conçue sous forme de dialogue entre un(e) pro et un contra. Je remercie chaleureusement de leur contribution les deux animaux qui ont donné une dimension particulière aux strophes.
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Notre nation est en péril Et la patrie est en danger Nous voilà bientôt submergés Par tant de hordes d'étrangers Et d'imposteurs au droit d'asile. Ce ne sont tous que parasites Qui insidieusement s'immiscent Dans le pays et l'envahissent Et peu à peu le pervertissent Il nous faut agir au plus vite. #
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C'est de vous que vient le danger De toutes vos idées malsaines Vos infections, votre gangrène Alimentées par l'effet haine Où corrompus, vous marinez C'est de vous que vient l'étranger L'intrusion de ces idées rances Qui déshonorent tant la France, Et qu'avec tant de suffisance Autour de vous vous répandez. # |
Allons nous rester sans rien dire Il nous méprisent on les déteste Éradiquons enfin la peste Qui depuis longtemps nous infeste Avant que tout cela n'empire. Défendons notre identité Avec ardeur avec courage Construisons remparts et barrages Pour stopper ces hordes sauvages Et vaincre l'insécurité # |
Mais de quoi donc avez-vous peur Poules mouillées pleutres et couards Pour vous planquer en vos remparts Et chier de trouille en vos falzars Nous agressant de ces odeurs ? S'il nous faut bouter hors des murs Une quelconque épidémie Ce sont vos hantises et phobies Et ces relents de barbarie De fanatisme et d'imposture. # |
Allons nous rester sans rien faire Contre cette invasion barbare De tous ces gris, de tous ces noirs Et avant qu'il ne soit trop tard Tant aujourd'hui ils prolifèrent Chassons hors de France les Arabes Mettons enfin un coup d'arrêt Aux mosquées et aux minarets Et que les noirs dégénérés Retournent à leurs baobabs. #
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Ras le bol de tous ces fantasmes Surgis en vos cerveaux malades Assez de cette mascarade De vos archaïques croisades De tous ces remugles et miasmes Préservons notre humanité De vos tendances suicidaires De vos troubles identitaires De vos tentations mortifères. De vos obsessions éhontées. #
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Assez de vos idées morbides De vos caricatures laides De ces phobies qui vous obsèdent Surgies des cendres encore tièdes D'un passé trop trouble et fétide C'est vous les fieffés imposteurs Et charlatans qui attentez A nos valeurs de liberté égalité, fraternité Allez vous faire pendre ailleurs. #
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